• Les machos sont parfois rigolos, surtout quand ils se prennent des vents...
    Voici quelques exemples de réponses qui peuvent faire mal...

     




    Q : Je ne vous ai pas déjà vu quelque part ?
    R : Oui et c’est pour sa que je n’y vais plus

     

    Q : Est-ce que se siège est disponible ?
    R : Oui, et le mien aussi si vous vous assoyez là

     

    Q : On va chez vous ou on va chez moi ?
    R : Les deux , je vais chez moi et vous allez chez vous.

     

    Q : J’irai au bout du monde pour toi !
    R : Merci et ce serait super que tu y restes.

     

    Q : Je crois que je pourrais vous rendre heureuse
    R : A oui, vous vous en aller déjà ?

     

    Q : Que dirais-tu si je te demandais de m’épouser ?
    R : Rien, je ne peux pas parler et rire en même temps !

     

    Q : On n’est pas déjà sortis ensemble une ou deux fois ?
    R : Une fois c’est possible mais pas deux. Je ne refais jamais deux fois la même erreur.

     

    Q : Comment faites vous pour être aussi belle ?
    R : C’est simple. Tour le contraire de ce que vous faites.

     

    Q : Votre visage doit faire tourner quelques têtes !
    R : Et le vôtre quelques estomacs !

     

    Q : Croyez-vous que c’est le destin qui a programmé notre rencontre ?
    R : Non, juste la malchance.

     

    Q : Si je vous voyais nue, je mourrai heureux !
    R : Et moi si je vous voyais tout nu, je mourrai de rire.

     

    Q : Où étiez-vous toute ma vie ?
    R : Où je serais pour le restant de vos jours : dans vos rêves !

     

    Q : Est-ce que vous sortiriez avec moi samedi prochain ?
    R : Non désolé, j’ai prévu avoir la migraine ce jour là.

     

    Q : Puis-je avoir votre numéro de téléphone ?
    R : Pourquoi, vous en avez pas ?


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    Lespace méditerranéen est devenu un carrefour pour le trafic de drogue. Entre cette rive sud de la mer Méditerranée, point de départ de flux en tout genre vers l’Europe et ceinture frontalière terrestre connue pour être une passoire pour les trafiquants, l’Algérie se trouve devant le défi de faire barrage aux influences négatives venant de toute part. Le pays, faisant face à ce fléau, qui trouve des connexions avec tous les crimes, notamment le terrorisme, a pu se créer un marché national qui empoisonne à longueur d’année une jeunesse de plus en plus vulnérable et demandeuse d’une fuite de la réalité.


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    Grenoble organise deux compétitions internationales dans le parc Paul Mistral la Coupe du Monde de snowboard FIS - Fédération Internationale de Ski - parrainée par Mathieu Crépel, et le sprint international de ski de fond de Grenoble sous la houlette de Roddy Darragon, médaillé d'argent aux JO de Turin.
    En
    prime, un show freestyle emmené par les plus grands skieurs.
    Une grande première en France les 4, 5 et 6 décembre 2008 !


    Ces deux compétitions de Coupe du Monde Big air se dérouleront donc dans le parc Paul Mistral. Une rampe de 100 mètres de long et de 37 mètres de haut accueillera le saut acrobatique en snowboard. Les fondeurs, eux, devront effectuer deux boucles de 600 mètres entre l'Anneau de vitesse et le Palais des Sports.

    Quatre autres villes - Moscou, Stockholm, Londres et Stoneham au Canada - offrent comme Grenoble un terrain urbain et accueilleront ces mêmes épreuves, cet hiver, comptant pour la Coupe du Monde.

    A l'occasion de ces Jeux de Neige, Grenoble va véritablement se métamorphoser en station de ski; la neige va investir le parc Mistral qui devient un grand terrain de jeux d’hiver avec une piste de luge, un jardin d’enfants, une piste d’initiation au ski nordique, mais aussi une patinoire, et bien sûr les batailles de boules-de-neige, les sculptures sur glace, les dégustations de tartiflette… autour de chalets en bois !

    Au delà du parc, la ville sera parcourue d’animations sportives et culturelles, de spectacles de rue, d’une soirée électro animée par Laurent Garnier, de concerts, de projections de films de glisse sur écrans géants, d’une grande retraite aux flambeaux ...

    Un évènement qui permet à Grenoble, candidate aux JO d'hiver de 2018, de montrer aux instances sportives internationales qu'elle sait - encore et tuojours - organiser un évènement sportif de grande envergure. Une belle occasion aussi pour les grenoblois de partager un grand moment dans un esprit qui leur est cher, celui de la convivialité et du sport.


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  • ...en Algérie.

     

      Lebane;veut dire,vendeur de lait fermenté.

     

     

    Plus de 1200 débitants de boissons alcoolisées à consommer sur place (bars, buvettes, brasseries, restaurants, etc.) et à emporter (boutiques, caves, commerces divers) ont, pour diverses raisons, été contraints de baisser rideau durant ces deux dernières années, apprend-on d’une source proche de l’association nationale des producteurs de boissons. A cette hécatombe, il faut ajouter celle de nombreux grossistes contraints à abandonner leur activité suite à une instruction du ministre du Commerce (88 /MC/DOM/06 du 30 janvier 2006) considérant désormais l’activité de gros en boissons alcoolisées comme une activité réglementée soumise à autorisation préalable du wali(préfet).

     


    Cette instruction, édictée dans la précipitation et en contradiction avec les textes promulgués par le ministère de l’Intérieur, mais aussi avec le code des impôts indirects, portera un grave préjudice à la profession avec, à la clé, l’abandon définitif de plus d’une centaine de grands distributeurs. C’est une décision pour le moins intempestive basée sur une interprétation erronée du décret 75-59 du 29 avril 1975, qui ne mentionne nulle part le caractère réglementé des activités de gros, ce que du reste confirment les services du registre de commerce qui n’ont commencé à exiger une licence de débit de boissons alcoolisées, délivrée par la wilaya, comme préalable à leur enregistrement, qu’à partir du mois de février 2006, date à laquelle l’instruction du ministre du Commerce leur a été notifiée.

    L’obligation ainsi faite aux grossistes et aux détaillants de se conformer à ces nouvelles dispositions pour être inscrits au registre de commerce ou au risque d’en être rayés pour ceux qui y figuraient déjà, offrira l’occasion aux walis chargés du contrôle de ces activités, désormais réglementées, de fermer à tour de bras les débits de boissons alcoolisées pour peu qu’ils ne remplissent pas tout ou une partie du dispositif réglementaire en vigueur. Un dispositif réglementaire composé d’un maquis de textes aussi nombreux que contradictoires, qui font la part belle aux interprétations contradictoires et aux appréciations souvent subjectives des autorités publiques, dont les sensibilités politiques et religieuses personnelles ont souvent pris le pas sur la rigueur de la loi.

    Et, à ce titre, il est bon de rappeler que les boissons alcoolisées n’ont pas toujours fait bon ménage avec les gouvernants, l’exemple le plus édifiant étant fourni par la promulgation par Ahmed Ben Bella, quelques mois à peine après l’indépendance du pays, du décret 62-147 du 23-12-1962 interdisant la consommation d’alcool et de boissons alcoolisées aux Algériens de confession musulmane. Un décret qui n’a du reste jamais été abrogé mais que d’autres textes de loi ont largement contredit, à l’exemple de celui (65-252) qui réserve l’octroi des licences de débits de boissons alcoolisées aux seuls anciens moudjahidine ainsi qu’aux veuves et ascendants directs de chouhada.

    On citera également l’arrachage à grande échelle de nos vignobles, décidé en 1970 par Houari Boumediène, en réaction à un différend politique avec la France et plus récemment encore l’interdiction d’importation de boissons alcoolisées que certains députés de la mouvance islamique ont réussi à introduire dans la loi de finances pour l’année 2004 avant d’être abrogée, durant la même année, par une loi complémentaire. En examinant le détail de l’arsenal juridique composé de plus d’une centaine de textes de lois (ordonnances, décrets, circulaires), on se rend par ailleurs compte que la préoccupation majeure des législateurs a de tout temps consisté à fragiliser la profession en conditionnant son existence à l’accomplissement de nombreuses formalités et obligations pour certaines très difficiles à remplir.

    Dans le maquis de textes qui régit la filière des boissons alcoolisées, on ne trouvera aucune loi, aucun décret, ni même une circulaire promulguée dans le but de développer cette filière qui procure pourtant plus d’une vingtaine de milliards de dinars de revenus fiscaux à l’Etat chaque année. Ce sont ces recettes qui, dit-on, financent les emplois des jeunes créés à la faveur des dispositifs mis en œuvre par l’Ansej. On évoquera également la centaine de milliers d’emplois directs et indirects offerts par les unités de production et de distribution de bières et vins, ainsi que les activités annexes (production de bouteilles, de bouchons, de services etc.) qui ont pu se développer à leur faveur.

    Beaucoup d’autres investissements auraient pu être promus dans la filière, si la législation existante protégeait un peu mieux ses acteurs des humeurs changeantes des princes, qui donnent périodiquement des coups de boutoir en se basant sur des dispositions réglementaires sans doute expressément insérées pour rendre la profession peu incitative et vulnérable. On peut citer, à titre d’exemple, l’interdiction faite aux femmes d’exploiter un débit de boissons, la non-transmission des commerces de boissons alcoolisées par héritage, leur fermeture quasi automatique au cas où une mosquée viendrait à être édifiée à proximité.

    L’ouverture d’un débit de boissons alcoolisées est ainsi devenue, au fil des années, une activité à risques dont vont tout naturellement se détourner les investisseurs potentiels. Pire encore, les quelques professionnels installés, pour certains depuis de longues années. Les débitants de boissons alcoolisés activant dans la légalité se font, de fait, de plus en plus rares et, à lire les journaux relatant pratiquement chaque jour des découvertes de bistrots clandestins, la filière aurait tendance à glisser dangereusement dans l’informel.

    Et au regard des canettes et bouteilles de bière vides qui jonchent les accotements des rues et polluent les forêts, les lieux de prédilection des amateurs de boissons alcoolisées ne semblent plus être les bars et les restaurants, en grande partie fermés, mais les voitures et les sous-bois. Comme au temps de la sinistre prohibition de l’alcool aux Etats-Unis.

     

    Source:El Watan


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