La chute des civilisations est le plus frappant et en même temps le plus obscur de tous les phénomènes de l'histoire.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

«Toutes les conditions sont réunies pour le bon déroulement de la 32e édition du Festival international de musique de Timgad». Une remarque qui va certainement rassurer de nombreux sceptiques quant à la bonne organisation de cette 32e édition, qui sera tenue pour la première fois, en dehors de la cité archéologique de Batna. Le nouveau théâtre en plein air, qui abritera le Festival international de musique de Timgad, est d’une capacité de 6000 spectateurs. Réalisé à proximité de la cité archéologique, le projet de construction de cette nouvelle structure a été doté d’un budget de 352 millions de dinars (4 705 882 d’€uros). «Ce nouveau théâtre a été calqué, à quelques détails près, sur le modèle romain, ce qui fait que les habitués des soirées du festival ne se sentiront pas le moins du monde dépaysés».

 

 

 

Lancé depuis 2002 et achevé cette année, ce projet avait pour objectif de préserver le patrimoine mondial que constitue le vieux théâtre romain. En effet, certaines parties du vieux théâtre se sont dégradés sous le poids des instruments de sonorisations et des installations nécessaires pour l’organisation des différents concerts. Cette nouvelle structure a été également dotée de quelques espaces dédiés à ce genre de manifestations culturelles: un salon d’honneur et six loges pour les artistes.

 

 

 

Plus d’une dizaine de pays auront à participer à cette 32e édition qui se tiendra du 8 au 17 juillet prochain, parmi lesquels: le Maroc, la Tunisie, la Libye, la Jordanie, la Turquie, le Liban et l’Espagne. «Cette édition se distingue par la participation de plusieurs pays étrangers ».

 

 

 

 L’ouverture prévue pour ce 8 juillet  se fera avec 80 artistes algériens. Un vibrant hommage sera, rendu aux artistes algériens qui ont subjugué le public au cours des précédentes éditions du festival. Il s’agit, entre autres, de El Hachemi Guerouabi, Abdelkarim Dali, Chikh Hassnaoui, Fadila Dziria, Abdelhamid Ababssa, Mohamed Rachdi, Aïssa El Djermouni, Ahmed Wahbi, Athmane Bali, El hadj El Anka, Sabah Saghira ainsi que le chantre de la chanson chaouie, Katchou, décédé dans un accident de la route l’année dernière. Attendue au festival de Djemila, la diva de la chanson arabe, Majda Roumi aura à clôturer ce rendez-vous annuel de la musique à Batna.

 

 

 

 

 

 

 

La flamme peut détruire. - Maîtrisée, elle illumine.

 

LIGUE DES UTOPISTES NON ALIGNéS
(France) Trip Folk

 
Arrivée en trombes d'un complexe automobile affublé d'options très spéciales (voiturette sans permis et caravane extensible) truffé d'objets délirants, d'inventions farfelues, de mécanismes sonores inattendus, et de lutheries pour le moins imaginaires, le tout élaboré exclusivement à partir d'objets recyclés en tout genre. C'est depuis ce vide-grenier lunaire et singulier, que deux personnages des plus énigmatiques conduisent une conférence poétique digne des réunions Tuperware les plus réussies, doublée d'un concert étonnant, présentant nombre d'inventions incontournables dont la seule motivation semble être de rendre notre quotidien encore plus mystérieux qu'il ne l'est déjà… La musique ainsi produite, comme tombée du ciel, saura rendre grâce aux spectateurs qui auront collaboré aux démonstrations incertaines de ces deux comparses drôles et émouvants.

 

http://www.myspace.com/liguedesutopistes

 

 

WAZOVOL
Cours, Johnny cours!
Elle attend son Johnny, l’homme de tous ses désirs, l’aboutissement de tous ses rêves, sa terre promise, son nirvana. Mais voilà que le temps se rétracte, se dilate ou se fige ! Aux prises avec les caprices d’une horloge de 4 mètres de haut, elle est happée par la course du temps. Chanson, acrobatie, jeu, danse, elle jettera son dévolu sur le premier Johnny potentiel ! « Cours, Johnny, cours ! » est le miroir ludique de nos vies agitées où nous courons parfois sans plus savoir pourquoi.

 

http://www.wazovol.com/video/accueil2/preload.html

 

 

 

 

 

 

 

 

Cie CARABOSSE
Installations de feu

La compagnie de renommée internationale Carabosse a embrasé poétiquement  le parc Paul Mistral. La nuit tombée, les lieux ont murmuré leurs secrets brûlants : lianes enflammées, boules de braises étincelantes, installations effervescentes. La compagnie Carabosse a envoûte les spectateurs grâce à une maîtrise spectaculaire du feu. Le flâneur a été  le conteur de sa propre histoire, libre de contempler les flammes jusqu’à leur extinction et de tracer son chemin, forcément hors du commun, entre les cœurs ardents des brasiers et des forêts de lucioles lumineuses. Un voyage imaginaire et féerique au cœur d’une nuit d’été étincelante !

http://www.ciecarabosse.fr/

J'ai reçu mon invitation au festival du monde, et j'ai joué tant que j'ai pu.