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    Antoine-Ernest-Auguste Hébert, né à Grenoble le 3 novembre1817 et mort à La Tronche (Isère) le 5 novembre 1908, est un peintre académique français.

    Dauphinois d'origine, cousin de Stendhal, Ernest Hébert se forme seul à la peinture, recevant les conseils de David d'Angers et de Paul Delaroche En 1839, il obtient un grand succès au Salon avec Le Tasse en prison. Il entre aux Beaux-arts, et il reçoit le prix de Rome, à la suite de quoi il s'installe à Rome. Il peint essentiellement la campagne romaine avec beaucoup de luminosité. À son retour en France, il devient un peintre officiel du Second Empire. Peintre brillant, il se dégage mal des conventions de l'académisme. Il est pensionnaire de la Villa Médicis de 1840 à 1844, puis directeur de l'Académie de France à Rome de 1867 à 1873 et de 1885 à 1891. Il meurt à 91 ans dans sa maison de La Tronche, qui est devenue le musée Hébert.

     

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    http://www.40batteurs.com/


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  • djilali

    Il était un enfant terrible de Sidi Bel Abbès. Un kid de la balle des rives de la Mekkerra. Un raïman jusqu’au bout des ongles l Il respirait et transpirait la musique raï dans son insouciance et beauté du diable.

     

    Djillali Rezkellah, plus connu sous le nom de «Djillali Amarna», vient de disparaître prématurément (le 6 novembre 2010), à l’âge de 49 ans, des suites d’une longue maladie. Il avait officié au sein de la formation Raïna Raï — en remplacement du chanteur Kada — faisant dans le raï électro, la fameuse marque de fabrique de Sidi Bel Abbès, sous les auspices du guitar hero, Lotfi Attar et ce, en 1984. Et puis, parmi le groupe Amarna à partir de 1986. Pour ceux qui ne connaissent pas Djillali Amarna ou encore Raïna Raï, c’est ce chanteur qui a crevé le petit écran algérien en  juillet 1985 à l’occasion de la Fête de la jeunesse, à Riadh El Feth à Alger. Il avait bousculé l’establishment ambiant en ayant une nouvelle «raïattitude», jurant d’avec l’ancienne et pionnière génération raï plus «guindée» à la manière du tarab el arabi d’Oum Edounia, l’Egypte.

     

    Démentant l’aphorisme de Walking Like An Egyptian des Bangles, Djillali se distinguera avec une «new sensation raï». Il était, sous l’impulsion du band Raïna Raï, le «pionnier» de l’entertainment du raï. Il fallait le voir et l’écouter interpréter Til Taïla revisitée et «custumisée». C’était beau, frais et jeune. «Djillali était bien sur scène. Il avait compris le message des jeunes Algériens qui avaient besoin de bouger, et il a imprimé l’esprit de Raïna Raï… C’est une perte pour la musique !», réagira le grand guitariste et leader du groupe Raïna Raï, Lotfi Attar.

     

     

     

    Nous sommes en 1985, c’est le parti unique et inique, l’unité de pensée et du réflexe orwelien : Big brother is watching you (le grand frère te surveille). Djillali, à la fleur de l’âge, 24 ans, sous la chaleur d’une nuit d’été, imposera une musique revendicatrice, juvénile, fraîche et surtout affranchie du carcan et du règne des chebs (Khaled, Sahraoui et Sahraoui, Hindi, Hamid, Benchenet…).  Un style ! Une nouvelle donne dans la musique raï plutôt underground et des cabarets. Djillali se sentait pousser des ailes pour ne pas dire des airs.  Entré dans une dimension extatique, voire en lévitation, Djillali, souriant et riant, interprétait les hits de Raïna Raï, Ya Zina Diri Latay, Hagda, Lala Fatima ou encore Raïna Hak.

    La liberté de ton est donnée : Raïna Hak (notre opinion, notre avis est comme ceci !). La grand-messe est dite ! Ainsi, Djillali  est déchaîné, se démènera comme un diable. Sautillant, esquissant des pas de deux, tantôt jouant des karkabous (percus. traditionnelles métalliques), tantôt le fameux guellal des chioukh (percussions), tantôt esquissant un jeu scénique démentiel. Il incarnait un symbole, un signe d’appartenance de la «génération MTV» avec l’éclosion des chaînes satellitaires en Algérie. Il fera aussi sensation au fameux Festival de La Villette à Paris, en 1986, avec Raïna Raï.

     

    Un autre live d’anthologie. Mais Djillali se surpassera au sein de la formation Amarna de 1986 à 1990. Car plus solid rock,  libre et énergique que le registre raï des chebs. Aussi, immortalisera-t-il des morceaux de bravoures, tels que Khelouni Nebki Ala Rayi de cheikh M’kaleche,  Ana Madert Oualou, Sidi Bel Abbès, Merioula ou encore le patriotique Oued Chouli déjà chanté par la pionnière du raï, cheikha Rimitti.

    Djillali, dans les années 1990, figurera sur l’album de Raïna Raï, Mama et Bye Bye sur les titres N’touma et N’stahel. A partir de 2001, il entamera une carrière solo, notamment avec l’album Ghaba (naouri).
    Djillali, mort dans l’extrême dénuement, semble nous «balancer» à la figure les lyrics prémonitoires et lacrymaux de Khalouni Nabki Aâla Rayi : «Laissez-moi pleurer sur mon sort/Laissez-moi raconter ma jeunesse/Laissez-moi pleurer sur mon destin/Ô combien ai-je pleuré sur mon mal !…» Paix à son âme !

    Source: El Watan

     

    hic rai

     

     




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  • Vendredi dernier .Au parc Paul Mistral à Grenoble.

    Pour la clôture du Festival Cabaret Frappé les 40 batteurs étaient là!

     

     

     
     

    http://www.cabaret-frappe.com/

     

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    Vidéo des 40 batteurs,photographiés(par votre serviteur) l'année dernière à Saint Martin d'Hères.

    Ce vendredi à18h :: Parc Paul Mistral( Grenoble) :: derrière l'Hôtel de Ville /// gratuit
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    Le rythme est au rendez-vous pour ce dernier « rendez-vous frappé » au parc Mistral. Une composition d’afro-beat, électro, funk, reggae, jazz, hip hop, bien arrosée de percussions. Avec Frédéric Origlio comme maître de cérémonie, des musiciens professionnels comme des amateurs mêlent musique et danse. Les 40 batteurs touchent à tous les styles et offrent une musique énergiquement impulsée par des rythmes frénétiques et festifs. Laissez-vous entraîner par la chaleur humaine de ce rendez-vous métissé!


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