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    Je voulais partager avec vous ces belles toiles de Van Gogh...superbement animées.


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    Posée au milieu du lac, elle est un peu l’emblème de Serre-Ponçon. Lac artificiel dans le sud des Alpes françaises à la limite des départements des Hautes-Alpes et des Alpes-de-Haute-Provence.
    Edifiée au XII° siècle au hameau des Couches, elle dépendait du prieuré de Saint-Michel de la Cluse. 
    La chapelle fut détruite en 1692 par les troupes du Duc de Savoie et reconstruite à la fin du XVII° siècle. 
    Lors de la construction du barrage de Serre-Ponçon, dans les années 60, la destruction de la chapelle était programmée, mais sa position sur un promontoire permit de la sauvegarder. 



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  • Himalaya 8425 Le Mont Aiguille qui culmine à 2087 mètres, le sommet dans les nuages, photographié  ce midi depuis Saint-Michel-les-Portes (38650)
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    Une vue partielle de la passerelle sur Drac:Longueur 220m- Largeur 1,20m. Hauteur: 45 à 85 mètres selon hauteur des eaux .

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    Passerelle de l'Ebron: Longueur 180m- Largeur 1,20m.
    Hauteur 45 à 85 mètres selon hauteur des eaux.
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    Le Lac de Monteynard-Avignonet

     



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  • Annecy 2013 4444

    Le palais de L'Isle est une ancienne maison forte du XIe siècle, remanié à plusieurs reprises, situé sur un îlot formé par le Thiou, qui se dresse sur la commune d'Annecy , dans le département de Haute-Savoie et la région Rhône-Alpes.

    Utilisé notamment comme prison, aujourd'hui musée, il offre un parcours historique de la région d'Annecy. On en visite les anciennes salles d'audience, les cellules des prisonniers ainsi que l'ancienne chapelle.

    Le palais de l'Isle fait l’objet d'un classement au titre des monuments historiques depuis le 16 février 1900.

    Il se dresse au milieu de la vieille ville d'Annecy, et commandait le seul passage du Thiou ainsi que le péage qui y était attaché.

    Aux XIIe et XIIIe siècles, il est entre les mains des seigneurs de l'Ile, qui le tiennent en fief des comtes de Genève. Il est inféodé vers 1219, à la famille de Monthouz, Jean de Monthouz est en 1325 seigneur de l'Ile d'Annecy et de la prison pour le comte. Il abrite alors les prisons comtales, rôle qu'il gardera jusqu'en 1355, puis un atelier monétaire y fonctionnera jusqu'en 1392.

    Sous Amédée VIII, la famille de La Croix, en aura quelque temps la charge. Janus, fils cadet du duc Louis de Savoie, ayant reçu le Genevois en apanage, rachète l'inféodation et donne l'« Île » à son épouse Hélène de Luxembourg. Il restera dans cette famille jusqu'au XVIe siècle, qui le transforme en demeure princière. Y séjournera François de Luxembourg, avec sa femme Louise de Savoie, et son fils François II.

    Revenu dans les mains des ducs de Genevois-Nemours, ils y rétablissent les prisons et y installent le palais de justice, ainsi que le Conseil présidial du Genevois et la cour des comptes ; au début du xviie siècle le président Favre y rend ses arrêts. Le Palais de l'Isle conservera ce rôle de prison jusqu'à la Révolution française. Ensuite, il sera tantôt, caserne, pour les troupes de passage, entrepôt pour l'intendance, asile de vieillards, de 1860 à 1880, puis de nouveau caserne. Menacé de destruction, le coût trop élevé en empêche cette dernière, il est classé en 1896 et dès lors sauvé.

    Il sert à nouveau de prison durant la Seconde Guerre mondiale. Restauré, il abrite aujourd'hui le CIAP (Centre d'Interprétation de l'Architecture et du Patrimoine), qui propose un parcours permanent sur l’architecture et le patrimoine de l’agglomération d’Annecy ainsi que des expositions temporaires renouvelées régulièrement. Les salles historiques permettent l’évocation des anciennes fonctions du monument.

    on enceinte épouse le tracé de l'île, en forme de fuseau. Son noyau est un logis tour datant de la fin du xiie siècle ou du début du XIIIe siècle, d'environ 12 m de côté. Il est construit en bel appareil régulier.

    Le rez-de-chaussée est divisé en quatre pièces voûtées plein-cintre. Au premier étage on trouve, la grande salle d'audience, elle est surmontée de deux autres étages. Au xve siècle, on a accolé à ce logis un escalier à vis.

    Une cour intérieure, à l'est, sépare ce « donjon », d'une chapelle de forme triangulaire, flanquée par la tourelle des latrines. Les cachots sont disposés le long du petit bras du Thiou. Les avocats, avaient leurs bureaux, regroupé dans un bâtiment bas dit les « banches » situé au nord.

     

     

     

     


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    Je voulais vous faire partager cette vidéo des Aurès en Algérie : région où j’ai vécu jusqu’en 2001.Je n’y suis plus revenu depuis avril 2011.  Un moment de nostalgie  m’a amené à chercher sur Internet et donc voilà le résultat. Je remercie les concepteurs de la vidéo.


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