• Ce mois de janvier (qui s'achève) est très spécial.
     Il a 5 samedis, 5 Dimanches et 5 lundis en un seul mois.
     Ceci arrive tous les 823 ans. On les appelle les sacs d'argent.
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  • L'avenir des nations est dans les écoles du peuple.

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    Le lycée Emmanuel-Mounier, ouvert en 1963, situé aux portes des quartiers sud de Grenoble vit sa dernière année. La Région veut appliquer le principe de précaution pour un bâtiment vieillissant et à terme dangereux. Sa réhabilitation coûterait trop cher. Le rapport d’expertise pointe un sol précaire et un bâti en fin de vie.

     

    Pour les enseignants, la sécurité n’est qu’un prétexte qui cacherait une décision éminemment politique. Il y aurait un lycée de trop à Grenoble, dit-on. « Un lycée en moins, ce sont des postes en moins. Cela fait sept ou huit ans qu’il y avait à choisir entre le lycée Mounier et celui des Eaux-Claires, il faut croire que c’est les Eaux-Claires qui l’emporte. »

     

    Un autre : « Mounier est le lycée de la mixité sociale, c’est celui qui accueille les élèves issus des quartiers sud, dont La Villeneuve, c’est celui qui a une multitude d’options. Le maire l’avait choisi pour mettre en œuvre un projet de classe scientifique, la main à la pâte de Charpak. C’est celui qui accueille le Clept, pour aider les lycéens décrocheurs ».

    

    Le fait que le lycée Mounier soit dans le colimateur provient essentiellement du fait que "c'est l'établissement qui accueille la plupart des éleves issus des quartiers populaires du sud de la ville, dont la Villeneuve et le Village Olympique". C'est d'ailleurs ce qui fait de Mounier "un symbole" pour la plupart des enseignants."Il faut défendre cet outil qui a permis à de nombreux gamins issus des quartiers modestes de réussir", "je suis fière de travailler ici plutôt que dans un autre établissement plus prestigieux sur le papier", pouvait-on entendre.


    On défend la qualité pédagogique de l'établissement, notamment pour ses résultats au bac supérieurs à la moyenne nationale dans toutes les filières. On invoque aussi la diversité de ses options comme le chinois ou les arts plastiques et ses efforts en matière d'intégration des élèves ne maîtrisant pas la langue française (notamment au sein du dispositif ENA). Même si la plupart reconnaissent qu'une redirection des 700 élèves vers d'autres lycées serait techniquement possible à la rentrée prochaine, l'ensemble du personnel enseignant s'oppose donc en bloc à la fermeture. "Il ne s'agit pas d'une question technique. Mounier, c'est un nom et une histoire", s'offusque un des profs lorsque la question est soulevée.

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    http://mounier.lgt-emmanuel-mounier.ac-grenoble.fr/




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  • «Les hommes naissent libres et égaux en droit. Après ils se démerdent.»

     

     

    Les juifs n’ont pas d’avenir dans notre pays. Les noirs n’ont pas d’avenir dans notre pays. Les arabes n’ont pas d’avenir dans notre pays. "Les Roms n'ont pas d'avenir en France ".La fille adoptive du couple Chirac, Anh-Dao Traxel, estime que "les Roms n'ont pas d'avenir en France" et défend la politique d'expulsions menée par le gouvernement .

    "Les Roms n'ont pas d'avenir en France: non seulement ils n'y trouvent pas de travail mais de toutes façons, ils ne cherchent pas à s'intégrer", affirme l'ex-réfugiée vietnamienne.

     
    "Ils ne parlent pas notre langue, ils n'ont pas de quoi vivre et ils n'éduquent pas leurs enfants qui sont peu scolarisés (...) Ils vivent comme des rats et c'est intolérable de fermer les yeux la dessus", assène la fille adoptive de Chirac.(Propos tenus mardi 24 août 2010)

     

    En France, l’histoire des roms français s’écrit à l’encre de l’humiliation sur une feuille de brouillon écrasée par la présomptueuse encyclopédie de la glorieuse histoire de France. Il existe différents sous groupes, en France, les manouches sont les plus nombreux. Pour commencer au siècle dernier, les nomades français devaient être titulaires d’un carnet anthropométrique pour se déplacer dans leur pays de 1912 à 19692. Pendant la deuxième guerre mondiale, outre les 300 000 roms exterminés par les nazis, les derniers roms prisonniers des camps d’enfermement en France ne furent libérés qu’en 1946, deux années après le débarquement allié et un an après l’armistice.


    Et voià comment survivent les Roms en SarkozyLand en 2011.

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  • Une république n'est point fondée sur la vertu ; elle l'est sur l'ambition de chaque citoyen, qui contient l'ambition des autres.

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