•   Marceline

     

     

    C'est en retrouvant une photo prise à Douai en 2007 lors de mes déplacements dans le Nord avec le groupe Capacitation Citoyenne http://www.capacitation-citoyenne.org/  que l'idée m'est venue de vous parler de cette poétesse "oubliée".

     

     

     

    Née à Douai, elle est emmenée par sa mère à la Guadeloupe mais celle-ci y meurt presque aussitôt. Elle devient cantatrice et a un fils qui meurt à cinq ans. Elle épouse ensuite le comédien Prosper Lanchantin, dit Valmore, dont elle aura quatre enfants. Cette femme de lettres française a écrit pendant toute sa vie, principalement des poésies élégiaques ("Élégies et Romances", "Élégies et poésies nouvelles", "Poésies","Les Pleurs", "Pauvres Fleurs"). Admirée par Lamartine, Victor Hugo, Baudelaire, elle meurt pourtant seule et oubliée.

     

    front oval


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  • Il est peut-être agréable qu'un voyage prenne fin mais, finalement, c'est le voyage qui compte

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  • A la frontière du Mexique



    Juan arrive du Mexique à la frontière séparant le Mexique des États-Unis en bicyclette.

    Il a un gros sac sur ses épaules.

    Le douanier l'arrête et lui demande :

    - Qu'est-ce que tu as dans ton sac ?

    il répond :

    - Du sable.

    Le douanier, incrédule, lui dit :

    - On va voir ça... Descends du vélo. Le douanier ouvre le sac et répand le sable qu'il contient sur le sol.

    Il fouille dedans sans rien y trouver.

    - C'est bon, lui dit-il.

    Juan ramasse le sable du mieux qu'il peut et repart sur sa bicyclette.

    Une semaine plus tard, la même chose se produit.

    Le douanier demande à Juan :

    - Qu'est-ce que tu as dans ton sac cette fois ?

    Juan répond :

    - Du sable.

    Le douanier, qui n'est toujours pas convaincu, décide de détenir Juan pour la nuit et d'envoyer un échantillon du sable pour analyse. Le lendemain, les résultats révèlent qu'il s'agit bien de sable. Il laisse donc Juan repartir sur son vélo.

    Le petit manège se poursuit tous les deux ou trois jours pendant les quelques années qui suivent. A chaque fois, le douanier fouille le sac de sable. Il envoie régulièrement des échantillons pour analyses de toutes sortes mais toujours sans rien trouver d'autre que du sable.

    Finalement, quelques années plus tard, Juan arrête de traverser la frontière à bicyclette avec son sac de sable.

    Un beau jour, lorsqu'il est à sa retraite, le douanier est en vacances au Mexique et rencontre Juan dans un petit bar sur la plage.

    - Hé ! je te reconnais, toi! Tu n'es pas le gars qui traversait la frontière en bicyclette avec un sac de sable ?

    Juan reconnaît le douanier et lui répond :

    - Oui, c'est moi.

    - Qu'est-ce que tu deviens ? lui demande le douanier.

    - Je me suis acheté ce petit bar et je vis tranquillement, répond Jérome.

    Le douanier se décide finalement à lui demander :

    - Écoute, je suis à la retraite et je n'ai plus aucun pouvoir. Je voudrais bien savoir une chose. Je n'ai jamais arrêté de penser à ça depuis que je t'ai vu la première fois. Juste entre toi et moi, tu faisais de la contrebande ?...

    Juan esquisse un petit sourire et répond :

    - Oui, et c'est comme ça que je me suis acheté ce bar.

    Le douanier s'approche un peu et demande à voix plus basse :

    - Et qu'est-ce que tu passais frauduleusement aux douanes ?

    Juan répond :

    - Des bicyclettes.

     

     

    Dans l'avion



    Nous sommes sur un vol long courrier d'Air France au dessus du pacifique.
    Tout le monde dort, tous sauf deux homos qui n'arrivent pas à trouver le sommeil...
    L'un des deux, le moins timide, propose à son ami de faire l'amour, là dans l'avion !
    - Allez va on le fait , on en avait déjà parlé, tu étais d'accord !
    - Non mais tu te rends compte du monde qu'il y a ! Non merci, j'ai pas envie de prendre la honte si on nous surprend !
    - Mais si on ne risque rien, tout le monde dort, allez viens !
    - Comment peux tu en être aussi sûr ?
    - Mais si, j'en suis sûr, regarde !
    Il se lève et demande à voix haute ...
    - Est-ce quelqu'un aurait un stylo s'il vous plaît ?
    Aucune réaction des passagers ...
    - Tu vois tout le monde dort, personne ne peut nous surprendre. Prends moi j'ai vraiment trop envie !
    Le second rassuré se met à l'ouvrage, ils font l'amour sans être dérangé et s'endorment peu de temps après.

    Au petit jour l'hôtesse passe dans les couloirs et demande si tout s'est bien passé... et là, non loin des places de nos deux amoureux une petite vieille grelotte :
    - Madame, tout va bien ?", lui demande l'hôtesse.
    - Ho ! j'ai eu un peu froid cette nuit mais sinon ça va .
    - Mais vous auriez du demander une couverture.
    - Ah ça non ! Un monsieur a demandé un stylo et il s'est fait enculer...

     

     

    HIC-12

     

     

     


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  • Celui qui ne porte sa moralité que comme son meilleur vêtement ferait mieux d'être nu. [Khalil Gibran]

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