• Pour entamer la semaine d'un bon pied;rien ne vaut une dose d'humour.


    Le cerveau d'un homme.














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  • Quand je suis dans l'eau, j'ai des idées. Quand j'en suis sorti, je sèche.

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  • Cette fontaine porte en fait le nom du Marquis de Lavalette qui fut maire de Grenoble au XIXe siècle et initiateur du premier réseau de canalisation des fontaines publiques de la ville.

      1825- Cette année là on érigea le château d'eau Lavalette sur la place Grenette, jadis place du vieux marché aux grains (la granaterie) d'où son nom de Grenette. M. Gaymar en fut l'architecte, il éleva ce château d'eau sur l'emplacement d'une pompe comme il en existait au XVIIIe siècle, en reconnaissance du marquis de Lavalette, ancien maire et créateur des fontaines publiques.

      Nadon en fut le sculpteur, alimentée par les eaux de Rochefort, le château d'eau dont le jet pouvait atteindre 22 mètres de hauteur est réalisé en pierres de Sassenage, lors de la pose des premières pierres on scella à l'intérieur de l'une d'elles creusé à cet effet, une boite de plomb renfermant des médailles à l'effigie de Louis XV, Louis XVI, Charles X, du Duc de Berry et du Duc de Bordeaux. Elle est ornée de quatre angelots chevauchant des dauphins monstrueux, ces derniers emblème du Dauphiné, comme le veut leur réputation de bon guides sauveteurs des naufragés, car il est vrai que Grenoble à connu, dans son histoire près de cent cinquante inondations. Ce son des bronzes du sculpteur Sappey, et Gozatier en assure la fonte. En 1968 fut la mise en eau recyclée du château d'eau.

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    On a beau donner à manger au loup, toujours il regarde du côté de la forêt.

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  • Les loups, poussés par la faim, n'hésitaient pas à s'attaquer non seulement aux troupeaux mais aux hommes eux mêmes...

    Menacés continuellement pendants leurs activités aux champs et parfois mêmes au coeurs de leurs villages, les habitants organisaient de nombreuses battues, traquant les loups au plus profond de leur territoire.

    Armés de torches et de bâtons, les chasseurs parcouraient les forets alentours, rabattant la horde de loups vers le fond des gorges étroites; les loups étaient alors brûlés sans aucune pitiée.

    Mais les "bruleurs de loups" n'hésitaient pas à incendier des portions de forets pour parvenir à leurs fins, sans se préoccuper de la destruction irrémédiable ainsi occasionnée.

    Des forets entières partirent en fumées, ruinant ainsi bien des versants de notre bel Oisans...


    "Brandissant dans la nuit leurs torches de mélèze,

    Des glaciers de l'Oisans aux Gorges d"Omblèze,

    Du Champsaur au Queyras, de Lente à Riablous,

    Nos aieux poursuivaient le noir troupeaux des loups.

    Au fond de quelque gorge, ils acculaient la horde

    Des hurleurs aux crocs blancs, puis sans peur qu'elle morde

    Faisaient rouler sur eux les sapins du rocher

    Ils allumaient dans l'ombre un étrange bûcher..."

    " Et leurs ames partant au pays des chimères

    Ils écoutaient, les pieds aux chenets leurs trouvèrent

    Qui chantaient Mélusine en des rythmes très doux

    Nous sommes les fils des brûleurs de loups "

                                   "Le grand Oisans sauvage"Paul BERRET -1908


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