• Etiez
    -vous seul, ou sans personne pour vous accompagner ?

    . . .

    Vous a-t-il tué ?

    . . .

    Combien de fois vous êtes-vous suicidé ?

    . . .

    Etiez-vous présent quand on vous a photographié ?

    . . .

    A quelle distance les véhicules se trouvaient-ils l'un de l'autre au moment de la collision ?

    . . .

    Et vous y êtes resté jusqu'au moment de votre départ, n'est-ce pas ?

    . . .

    Q. M. Slattery, vous avez fait un voyage de noce très luxueux, n'est-ce pas ?
    R. Je suis allé en Europe, monsieur.
    Q. Et vous y avez amené votre nouvelle épouse ?

    . . .

    Q. Pouvez-vous nous décrire cette personne ?
    R. Il était de taille moyenne et portait une barbe.
    Q. Etait-ce un homme ou une femme ?

    . . .

    Q. Donc, la date de conception est le 8 août ?
    R. Oui.
    Q. Et que faisiez-vous à ce moment-là ?

    . . .

    Q. Etes-vous qualifié pour fournir un échantillon d'urine ?
    R. Je le suis depuis ma tendre enfance.

    . . .

    Q. N'est-ce pas dans le fracas que vous avez été atteint ?
    R. Non. J'ai été touché entre le fracas et le nombril.

    . . .

    Q. Docteur, combien d'autopsies avez-vous exécutées sur des personnes mortes ?
    R. Toutes les autopsies que j'ai faites l'ont été sur des personnes mortes.

    . . .

    Q. Vous rappelez vous de l'heure qu'il était quand vous avez examiné le corps ?
    R. L'autopsie a commencé vers 20h 30.
    Q. Et M. Dennington était mort à ce moment-là ?
    R. Non. Il était assis sur la table et se demandait bien pourquoi je faisais une autopsie.

    . . .

    Enfin, la dernière et non la moindre:

    . . .

    Q. Docteur, avant de faire l'autopsie, avez-vous vérifié le pouls ?
    R. Non.
    Q. Avez-vous vérifié la pression sanguine ?
    R. Non.
    Q. Avez-vous vérifié s'il respirait ?
    R. Non.
    Q. Mais comment donc pouviez-vous être certain qu'il était mort quand vous avez entamé l'autopsie ?
    R. Parce que son cerveau se trouvait dans un bocal, sur mon bureau.
    Q. Mais le patient n'aurait-il pas pu être en vie quand même ?
    R. Il se peut bien qu'il ait été en vie, en train de pratiquer le droit quelque part !

     


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  • Sexe, viols et vidéos à l’ambassade des USA à Alger

    Cette affaire qui vient d’éclater à Washington, une semaine après l’investiture de Barack Obama, a tout pour servir de scénario à un thriller. Dedans, tout y est ou presque : d’abord, une affaire de sexe qui implique un agent de la CIA appointé dans un pays musulman, l’Algérie en l’occurrence. Ensuite, des enquêteurs américains qui traquent la vérité sur cet espion, puis des journalistes à l’affût de la moindre révélation pour alimenter leurs lecteurs, enfin le gouvernement US qui se retrouve avec un scandale sur les bras à un moment vraiment inopportun. Bref, un polar comme on les aime à Hollywood. Sauf qu’il ne s’agit pas de fiction, mais de réalité. De quoi s’agit-il au juste ? L’ancien chef de la CIA (Central Intelligence Agency) en Algérie, Andrew Warren, 41 ans, est formellement soupçonné d’avoir drogué et violé deux ressortissantes algériennes dans sa résidence, à l’ambassade des Etats-Unis, à Alger. Renvoyé à Washington par l’ambassadeur, David A. Pearce, cet officier fait actuellement l’objet d’une enquête du département de la Justice qui doit déterminer s’il est coupable ou non des allégations portées contre lui par les deux femmes dont l’identité n’a pas été révélée. Andrew Warren risque d’être traduit devant un grand jury. Révélée mercredi 28 janvier par la chaîne américaine ABC News, l’affaire est prise très au sérieux aussi bien au département d’Etat qu’au sein de la CIA. « L’individu en question est retourné à Washington et le gouvernement US suit l’affaire de près », affirme Robert A. Wood, porte-parole du département d’Etat américain. L’ambassade des USA à Alger confirme l’existence du scandale, mais refuse d’en dire davantage, s’en tenant à la version de l’US Department.

    Source:El watan
    http://www.elwatan.com/

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  • l'adolescente alerte les gendarmes .

    Une jeune fille de 15 ans a eu un très bon réflexe mardi après-midi. Cette adolescente de Saint-Laurent-du-Pont n'a pas hésité à contacter les gendarmes lors d'un "chat" qui tournait mal. Son interlocuteur, un homme qu'elle ne connaissait que sur Internet, risque 5 ans de prison et 75 000 euros d'amende. Il l'a menacé de révéler des informations personnelles si elle ne se déshabillait pas derrière sa webcam !

    Elle accepte de lui donner son numéro de portable

    Un "chat", c'est une discussion en temps réel sur Internet. Les ados _ notamment _ adorent; ils s'écrivent des messages via leur ordinateur ou leur téléphone portable, peuvent échanger des photos personnelles et se voir par l'intermédiaire d'une webcam. Ils discutent avec leur camarade de classe qu'ils retrouvent après les cours, des voisins, de la famille, des amis. Les "chats" sont aussi des lieux de rencontre. Les ados peuvent alors échanger pendant des heures avec des inconnus habitant à des centaines ou des milliers de kilomètres.
    Anna* est comme toutes les filles de son âge. Après l'école, pendant son temps libre, elle retrouve ses amis sur MSN, <script type= "text/javascript"> </script> un "chat" très fréquenté. Mardi après-midi, elle entame une discussion avec un inconnu, un homme dont elle ignore beaucoup de choses, à commencer par son âge. Mise en confiance par son interlocuteur, elle finit par accepter de lui envoyer son numéro de portable afin de se parler "vraiment" et de faire un peu plus connaissance. "Une information personnelle qu'il ne faut en aucun cas donner à un inconnu", souligne un gendarme de la brigade de Saint-Laurent-du-Pont.

    Il la menace pour qu'elle se dévêtisse derrière sa webcam

    L'inconnu n'a pas les mêmes intentions. Une fois le numéro en sa possession, il tente de forcer la jeune fille à allumer sa webcam et à se dévêtir. "Si tu ne le fais pas, je fais circuler ton numéro sur le Net..."
    "Elle a alors eu une très bonne initiative", commente un gendarme, "elle nous a contactés". En quelques minutes, les militaires se présentent au domicile d'Anna et mettent en place un dispositif afin de localiser l'inconnu. "Elle a continué de discuter avec lui pendant que nous mettions en place notre système. L'inconnu a vite été repéré".

    L'homme réside dans l'Est

    Il s'agit d'un homme de 24 ans. Il n'habite pas Saint-Laurent-du-Pont, ni l'Isère. Il réside dans l'Est de la France. "Nous lui avons vite signalé qu'il n'avait plus en ligne une jeune fille, mais des militaires. Il ne se rendait pas compte de ce qu'il risquait en menaçant ainsi une jeune fille !" Il pourrait être poursuivi pour "tentative de corruption de mineur", un délit passible de 5 ans d'emprisonnement et de 75 000 euros d'amende.
    Certaines associations de défense des enfants sur Internet estiment qu'un enfant sur trois aurait été abordé sexuellement par des adultes lors de "chats". Le cas d'Anna n'est donc pas unique. Un site existe depuis plusieurs années pour aider les parents dans la protection de leurs enfants sur Internet    http://www.protectiondesmineurs.org

    http://www.delegation.internet.gouv.fr/mineurs/index.htm





    Source:Le Dauphiné libéré.


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  • ...en Algérie.






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  • En essayant continuellement on finit par réussir. Donc : plus ça rate, plus on a de chance que ça marche.

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